See on Scoop.it – Cultures numériques
Numérama revient sur l’extraordinaire idéologie que sont capables de produire les “représentants” des ayant droits pour justifier le grand n’importe quoi en matière de gestion des droits d’auteurs et de reproduction. Nous en sommes aujourd’hui à la sauce “gros réac”.
En résumé, un type est condamné parce que son ex-femme a téléchargé de la musique d’une artiste dans le besoin (Rihahahana) et la réponse de Pascal Rogard : “il est responsable de ce que ses enfants et sa femme téléchargent”.
J’espère que toutes les écrivaines de la SACD apprécieront la remarque de leur représentant qui a oublié que depuis 1975, les maris n’ont plus le droit d’ouvrir le courrier de leurs épouses, que par ailleurs les parents doivent respecter l’intimité et la vie privée de leurs ados.
Comme le fait remarquer Numérama (http://www.numerama.com/magazine/23740-il-est-responsable-de-ce-que-fait-sa-femme-dit-pascal-rogard.html), on passe du riducule au vulgaire et dangeureusement liberticide.
Monsieur Pascal Rogard va désormais avoir fort à faire pour passer pour autre chose qu’un con. Mais attendons nous à ce qu’il persiste dans l’amour de la liberté d’expression et qu’il se mette à poursuivre pour diffamation celles et ceux qui auront l’outrecuidance de penser, de dire haut et fort avec un langage illustré que ce type craint.
See on www.numerama.com